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graines

Les graines sont des vecteurs de la reproduction sexuée [1]. Elles contiennent généralement — hors l’exception notable des orchidacées — des réserves permettant au germe de commencer son développement lorsque les conditions favorables sont réunies. Elles sont, du fait de ces réserves, un met de choix pour nombre d’animaux… lorsqu’une éventuelle présence toxique ne les en dissuade pas (pépin de pomme contenant du cyanure).

Pour le mode de dispersion des graines.


dolique (mougette de Provence) (Vigna unguiculata cylindrica)
dolique-asperge (Vigna unguiculata sesquipedalis)
fenouil (Foeniculum vulgare)
fenouil à bulbe (Foeniculum vulgare dulce)
fénugrec (Trigonella foenum-graecum)
fève (Vicia faba)
gaillet gratteron (Galium aparine)
gesse tubéreuse (Lathyrus tuberosus)
ginkgo (Ginkgo biloba)
gombo (Abelmoschus esculentum)
haricot (Phaseolus vulgaris)
haricot d’Espagne (Phaseolus coccineus)
lin_ vivace (Linum bienne)
livêche (Levisticum officinale)
maïs (Zea_ mays)
moutarde blanche (Sinapis alba)
nigelle de Damas (Nigella damascena)
panais (Pastinaca sativa)
pavot somnifère (œillette) (Papaver somniferum)
pourpier (Portulaca oleracea)

[1Certaines plantes arrivent à transformer leurs ovaires ou même leur pollen (comme pour la ronce ou le cyprès de Duprez voir sur Tela Botanica) en graines en l’absence de fécondation (apomixie ou reproduction apomictique, en barbare. Il s’agit surtout d’astéracées, de rosacées ou de poacées (graminées) de la sous-famille des panicoïdées (comme le mil). Ces plantes « apomictiques » forment souvent des espèces nombreuses dans certains genres comme les pissenlits (Taraxacum), les épervières (Hieracium) ou les ronces (Rubus) ; espèces où les individus sont quasi des clones de leurs parents.